Il est venu régulièrement à la mangeoire et fut l’un des derniers à s’y approvisionner.
Ses cris explosifs retentissent toute l’année : « kik kik kik » ; régulièrement, dans le couvert forestier, on peut aussi entendre son tambourinage très sonore, des martèlements puissants de 15 à 20 coups par seconde.
Il pourrait être confondu avec d’autres dont celui photographié en mars qui est plus rare et moins loquace. Observez les différences de plumage : le dernier porte une calotte rouge et des sous-caudales roses.
Avez-vous reconnu et entendu le premier ? et le second ?
(Réponse la semaine prochaine. Réponse de la semaine dernière : le Pinson femelle)